Des amis, nous en avons de toutes les sortes, de toutes les formes et de toutes les couleurs. Certains sont aimables. D'autres, grognons. Certains n'arrêtent pas de bavarder. D'autres aiment qu'on les laisse tranquilles...
Aussi loin que l’on se souvienne, le plus grand désir de Lucas a toujours été de pouvoir voler. Bien sûr, rien n’y fait. Jusqu’au jour où il ouvre un livre, puis un deuxième, et un troisième. C'est par la lecture que Lucas fera ses plus beaux voyages.
Ce ver a la personnalité égocentrique, souverain autoproclamé et manipulateur, est irrésistible.
Grand Loup vit une existence tranquille sous son grand arbre. Un jour, il voit au loin un Petit Loup venir vers lui. Inquiet, il se demande si ce Petit Loup pourrait être plus grand que lui. Mais non, Petit Loup est vraiment petit. Rassuré, il le laisse approcher.
600 pages. Presque 600 pages qui se dévorent sans pouvoir s’arrêter. Marie-Aude Murail est une des « page-turner » jeunesse contemporaine française les plus doués de sa génération. Sublimé par les illustrations à l’aquarelle de Philippe Dumas, le roman nous transporte au sein de la bonne Société Anglaise du 19ème siècle, celui où une fillette devait grandir sagement avant d’être présentée au monde et devenir alors une épouse respectable et une mère dévouée, ce qui ne s’accorde pas vraiment avec le caractère de cette héroïne hors du commun.
Pour écrire cette biographie romancée, Catherine Locandro donne la parole à trois des personnes les plus proches de Cassius : sa mère, son frère et son entraîneur. C’est donc à travers leurs regards croisés et leurs souvenirs que se dessine le destin extraordinaire du plus grand boxeur de tous les temps : Monhamed Ali.
Lire La fourmi rouge, c’est plonger en apnée dans la tête et la vie de Vania Strudel, 15 ans. L’amitié, l’amour, la famille, le lycée, les mensonges dont on s’accommode et les vérités qu’on tait pour ne pas souffrir, tels sont les thèmes abordés dans ce roman.
Comme à son habitude, David Walliams parvient en quelques pages introductives à planter
son décor, ici un Londres de fin du 19 e siècle et à dresser toute une galerie de portraits.
Lecture à la fois bouleversante et « électro-choquante », ce Max de Sarah Cohen-Scali est un roman coup de cœur et coup de poing. Une fois en main, il est impossible de lâcher ce livre criant de vérité tant la documentation est rigoureuse. À lire ABSOLUMENT à partir de 14 ans.
Cette histoire déborde d’humanisme, de tendresse et de sensibilité. L’apparente simplicité du style, des phrases simples et des chapitres extrêmement courts, confère à ce texte une dimension poétique et une profondeur rarement égalée.